La Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) a annoncé le 8 mars que l'encours du crédit du secteur de la micro finance dans l’Union monétaire ouest-africaine (UMOA) a connu une forte augmentation de 446,5 milliards de FCFA (environ 893 millions de dollars) entre 1993 et 2009, soit une progression de 1.063 %.
L’encours des dépôts est ressorti à 504 milliards de FCFA contre 42,2 milliards en 1993 (plus 1.095 %). Concernant les bénéficiaires des structures de micro finance, ils sont passés de 312.425 en 1993 à 9,5 millions en 2009, correspondant à une très forte hausse de près de 3.066 %. Le nombre de structures de microfinance a connu une croissance de 647,7 % sur la même période, passant de 107 en 1993 à 800 à la fin de l’année 2009.
La BCEAO signale un certain nombre de mutations en cours dans le secteur de la micro finance. Il en est ainsi de l’accentuation de la concurrence entre les systèmes financiers décentralisés (SFD) qui se manifeste à travers la création de nouvelles institutions et la forte urbanisation des activités de micro finance. Une autre mutation notée par la BCEAO, est l’entrée dans le secteur des banques commerciales ainsi que des fonds d’investissements.
Source : Afrique Avenir.
L’encours des dépôts est ressorti à 504 milliards de FCFA contre 42,2 milliards en 1993 (plus 1.095 %). Concernant les bénéficiaires des structures de micro finance, ils sont passés de 312.425 en 1993 à 9,5 millions en 2009, correspondant à une très forte hausse de près de 3.066 %. Le nombre de structures de microfinance a connu une croissance de 647,7 % sur la même période, passant de 107 en 1993 à 800 à la fin de l’année 2009.
La BCEAO signale un certain nombre de mutations en cours dans le secteur de la micro finance. Il en est ainsi de l’accentuation de la concurrence entre les systèmes financiers décentralisés (SFD) qui se manifeste à travers la création de nouvelles institutions et la forte urbanisation des activités de micro finance. Une autre mutation notée par la BCEAO, est l’entrée dans le secteur des banques commerciales ainsi que des fonds d’investissements.
Source : Afrique Avenir.
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